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 h. t. "summer" ϟ fairytale of lies

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#YOLO




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Date d'inscription : 12/12/2014

h. t. "summer" ϟ fairytale of lies Empty
MessageSujet: h. t. "summer" ϟ fairytale of lies   h. t. "summer" ϟ fairytale of lies EmptyMer 14 Jan - 18:42


« H. T. "Summer" Zacharias »
« HEIN? QUOI? OU? COMMENT? »

PERSONNAGE INVENTÉ POSTE VACANT

Je te présente, toi c'est Hippolyte Timothy Zacharias, mais on peut t'appeler Summer. Tu es né le sept janvier au village féerique de Sanctuary of Heart, ce qui veut dire que tu as dix-neuf ans. Au fait, tu es célibataire mais amoureux et hétérosexuel. Ton affilié se nomme Capuchon, un papillon immortel. Pour ce qui est de ta race, tu es une fée mordue ! On te dit souvent que tu ressembles à Kanbara Akihito, de Kyoukai no Kanata.


« Capacités et armes »

IMMORTALITE FACE AU TEMPS Ҩ
RESISTANCE AU FEU Ҩ sous toutes ses formes (allumettes, feu humain, magique…)(maîtrise moyenne);
EMPATHIE Ҩ tu peux lire dans les sentiments des autres (maîtrise médiocre);
CONTROLE DE LA FOUDRE Ҩ création&manipulation de l'élément (maîtrise passable);

« Description physique »

« s u n s h i n e » — TAILLE ; 1m82 ϟ POIDS ; 65kg ϟ CHEVELURE ; blonds, mi-long ϟ CORPULENCE ; moyenne ϟ STYLE VESTIMENTAIRE ; soigné ϟ YEUX ; marrons ϟ DEMARCHE ; maladroite.

A première vue, tu as juste l'air d'un énorme maladroit. Une grande taille, mais léger. En réalité, il parait maigre un peu trop maigrichon pour sa taille/son âge. En effet, un mètre quatre-vingt-deux pour seulement soixante-cinq kilos c'est assez peu. De fins cheveux mi-longs qui te couvrent la nuque, blonds. Ils sont faciles à coiffer, ils se positionnent même quasiment tous seuls. Une petite tête, en un doux ovale. Des yeux marrons en amandes, toujours biens ouverts, à l'affût de petits détails insolites. Au dessus, deux petits traits noirs pour les sourcils. Juste en dessous, il y a ton nez, assez fin, et légèrement pointue. Une petite bouche, qui s'étire parfois en un maigre sourire, ou reste sinon en u inversé, un peu boudeur. Un cou fin, qui relie une bonne paire d'épaules assez carrées. Une musculature peu développé, mais pas non plus sans force. Deux bras énergiques et deux mains fortes, une poigne cependant légère. Des pectoraux pas si développé que cela, mais un beau petit ventre. Un bassin assez large, menant à tes deux jambes larges. Tout en bas, deux pieds puissants, te permettant de sauter avec énergie - quand tu en as envie - et de courir assez vite. Une façon de marcher un peu maladroite, tu rencontres souvent des objets sur le chemin. Une horrible manie de te passer la main dans les cheveux dès que quelque chose t'inquiète un peu. Un style vestimentaire assez distingué, souvent un t-shirt surmonté d'une petite veste habillée, au dessus de ton pull à carreau fétiche. et d'un pantalon gris.


« Description mentale »

« b r o k e n » — UN PEU BLASÉ ϟ ATTENTIONNÉ ϟ SANS ESPRIT DE CONSERVATION ϟ GAFFEUR ϟ SOURIANT ϟ PROTECTEUR ϟ SPONTANÉ ϟ IRRÉFLÉCHI ϟ FONCEUR ϟ TÊTU

Avant, tu étais le souriant, le gaffeur, le drôle, l'attentionné. Tu aimais vivre, aimais sortir, t'amuser, voir des gens, des amis. Travailler, passer du temps avec tes parents. Tu étais Hippolyte. Et tu as tout détruit, tu t'es auto-détruit, stupidement. Tu es stupide, idiot. Tu es Summer. Le garçon un peu blasé par tout, le garçon qui fonce dans le tas, et qui réfléchi après. Le garçon sans aucun esprit de conservation. Le garçon qui ne dit rien, le détruit, le mort, l'imbécile. Où est passé ton toi? Où est passé ce gentil Hippolyte protecteur, têtu, spontané? Il est parti, il n'est plus, n'existe plus, il est mort. A présent tu n'es qu'un être détruit, seul, triste, suicidaire. Autrefois tu étais emphatique, toujours joyeux et actif, voir hyperactif, tu voulais tout le temps jouer, tu blaguais, t'amusais, et tout s'est arrêté. Depuis le jour où tu l'as rencontrée. Betty, cette petite fille qui souffrait, mais ne le montrait pas. Tu l'admirais, tu ne savais pas comment elle faisais, elle était forte. Et elle a disparu, en même temps que toi. Où est passé Hippolyte? Celui qui créait de nombreux blancs après ses blagues, celui qu'on aimait, celui à qui l'on ne cessait de répéter 'mec, t'es con', celui qu'on aimait, celui que tu étais. Tu étais quelqu'un de bien, de bon, tu étais Hippolyte, maintenant tu n'es plus que Summer. Maintenant tu as peur de faire mal, tu as peur de blesser, de tuer, le mieux serait de te supprimer, mais tu as même peur du mal que tu te ferais. Tu as peur. Tu es détruit. Tu ne prends même plus plaisir à sortir, te confondant en excuses quand tu rentrais dans quelqu'un, de peur de lui avoir fait un bleu, de lui avoir fait mal. Tu es devenu pathétique. Tu es détruit, et tu cherches à reconstruire, pierre par pierre, qui tu étais autrefois, pauvre Summer. Tu t'es perdu, tu ne sais même plus qui tu es, tu dois te chercher, apprendre à redevenir comme avant, redevenir toi, Hippolyte. Mais y arriveras-tu sans elle? Sans Betty? Celle a qui tu as donné un nom, celle que tu aimais, celle que tu aimes toujours. Tu voudrais la revoir, savoir comment elle a fait, pour résister, pour rester elle même, et ne pas tomber, et se briser, comme tu l'as fais. Petite poupée de porcelaine détruite, ton amie prendra de jolis fils de couleur afin de te recoudre, de te rattacher à la vie, cette vie dont tu as perdu le goût, cette vie dont tu es las, Summer. Et tu n'as plus qu'un but, un seul, dans ton affreuse existence, celle de retrouver un jour celle que tu aimes, de retrouver Betty, car Hippolyte est encore amoureux, car Hippolyte est là, toujours prêt à jaillir de nouveau, et à revivre, tel un phénix, tel Betty.


« Histoire »

« 1. enfance »

« Mamaaaaaan, mamaaaaaan, vient voir, j'ai trouvé quelque chose! »
Ta voix a retenti dans le salon, où ta mère s'est levée, doucement, allant voir cette fameuse trouvaille - espérant au moins un joli trésor. Bien sûr, elle ne s'attendait pas à tomber sur une petite boite en métal, et lorsque tu avais vu la petite mine déconfite de ta mère s'afficher, tu n'avais pu t'empêcher de l'afficher à ton tour. Tu as pris l'objet dans tes mains, le tripotant délicatement, l'admirant sous tous les angles. Pourquoi Maman n'est-elle pas contente du trésor?, te disais-tu. Peut-être parce qu'elle était inquiète pour ton papa? Oui, c'était cela. Ce papa que tu ne voyais pas, ou plus, cette maman qui ne sortais plus, restais sur son canapé, attendant que la porte grince sur ses gonds et fasse apparaître la silhouette massive de son homme. Mais il n'arrivait pas, il ne donnait pas de nouvelle, excepté une brève lettre : 'Tout va bien', et ces mots qui se répétaient en boucle, que maman répétait toujours, quand elle pleurait, et toi qui restait là, innocent, sans jamais comprendre que ta maman était triste, que ton papa ne voulait pas revenir - ou ne revenais pas pour une quelconque raison. Tu restais là, à t'émerveiller d'une boite de conserve, déterrée du sol du jardin. Pour toi tout allait bien.
Et ton papa est revenu. Un soir, il a poussé la fameuse porte, fait apparaitre sa fameuse silhouette massive. Assis dans ton parc à jouet dans le salon, tu as regardé la figure défigurée de l'homme, tu as vu comme il souffrait. Sa peau entaillée, son visage ensanglanté, ses yeux humides. Ta maman est sortie de la cuisine, ne se doutant de rien, un plateau à la main, qu'elle a laissé tombé à la vision de son mari. Ses mains sont venus se plaquer contre sa bouche, avant de se placer sur les joues de cet homme si attendu. Elle a pleuré dans ses bras, avec lui, dans la douleur, déchirés. Tu ne comprenais pas. Ta maman t'as dit de rester jouer au calme ici, elle est partie dans la chambre avec ton papa. Une heure plus tard quand ils sont ressortis, il était couvert de bandages, et semblait déjà plus heureux de retrouver son chez soi.
« Papa? Pourquoi tu étais pas là avant? »
« Papa donnait aux méchants ce qu'ils méritaient, mon fils. »
« C'est qui les méchants? Genre des méchants comme ceux dans les dessins animés? Alors toi t'es un peu comme un super héros en fait! »
« C'est ça, c'est exactement cela. », t'a-t-il dit ce jour là, en souriant et te frottant les cheveux tendrement.
Ce jour là, tu l'as cru. Mais cela ne pouvait pas être aussi simple, si? Non.

« 2. "betty" »

Tu as six ans, le petit Hippolyte a grandi, et a soif de découvrir et de jouer plus que jamais. Tu étais donc parti à l'aventure, tout seul, le petit toi a quitté la maison et tu es parti dans une petit forêt, en contrebas du village féerique où tu habitais. Là-bas tu t'es promené, chassant les papillons avec tes doigts, les regardant s'envoler toujours plus haut au dessus de toi, émerveillé parce ce spectacle étonnant pour tes petits yeux d'enfant. Et tu es arrivé au centre d'une petite clairière agréable, où la lumière filtrait doucement à travers la cime des arbres. Tu t'es assis sur le sol, regardant les rayons de soleil tomber délicatement sur l'herbe sous toi. Et tu as entendu un bruit. Tu t'es relevé et t'es tourné.
Il y avait une petite fille.
Tu l'as regardée de haut en bas. Ses cheveux blonds, ses vêtements amochés, ses blessures éparpillés un peu partout sur son corps, ses yeux humides. Tu as été étonnée de voir une petite fille dans cet état. Pourquoi sa maman ne lui mettait pas de joli bandage pour la soigner, comme la tienne faisait avec ton papa? Tu ne le savais pas. Et longtemps encore tu l'as ignoré. Quand elle t'a vu, elle a sûrement pris peur, et elle est partie en courant. Tu as essayé de la rattraper, mais tu as trébuché sur une branche, et l'a perdue de vue.
Tu es rentré, et ton papa et ta maman étaient en colère. Ils avaient eu peur de te perdre, ils avaient eu peur de ne plus te revoir, sûrement comme ta maman avait eu peur pour ton papa. Tu as promis de ne pas recommencer, pourtant le lendemain tu y es retourné.
La petite fille t'intriguait. Tu voulais savoir pourquoi elle avait toutes ces blessures, pourquoi son papa et sa maman ne la soignait pas, pourquoi elle avait peur de toi. Tu es retourné dans la clairière, espérant qu'elle reviendrait.
Et elle est revenue.
Tu l'as regardée, revu ces mêmes cheveux blonds, ces mêmes vêtements amochés, ces mêmes blessures éparpillés sur son corps et ces mêmes yeux humides que tu avais vu la veille. Tu as soudainement eu peur qu'elle fuie de nouveau, qu'elle ne veille pas te parler, qu'elle est peur de toi. Tu t'es agité violemment, lui indiquant des mains et du visage qu'il ne fallait pas avoir peur de toi.
« JE TE VEUX AUCUN MAL JE TE JURE calme toi! caaaalme toiiiii ! ON SE CALME ET ON RESPIRE, ON- »
« …C'est toi qui panique… »
Alors elle n'avait pas peur de toi? Tu l'as regardé encore. Mais pourquoi? Pourquoi avait-elle fui hier si elle n'avait pas peur de toi? Elle te regarda de la même façon que tu la regardais. Vous étiez méfiants l'un de l'autre. Après tout, toi tu n'avais jamais eu de gens à qui parler à part tes parents, peut-être qu'elle aussi? Devais-tu lui parler? La rassurer? Tu ne savais absolument pas t'y prendre avec les autres, tu n'avais jamais parlé avec d'autres. Tu as finalement décidé de faire le premier pas.
« Je... Je m'appelle Hippolyte. Qui es-tu ? Je ne t'ai jamais vue ici avant. »
Quel beau nom c'était, Hippolyte. T'en souviens tu encore, Summer? C'était vrai, après tout tu n'avais vu personne ici, pas plus que n'importe où ailleurs. Tu voyais la petite fille commencer à trembler de plus en plus fort. Tua s tendu les mains devant toi en les agitant frénétiquement, essayant de la calmer par une quelconque magie, qui n'existait probablement pas. Elle avait bel et bien peur, tu crois? Tu t'empressas de lui parler de nouveau.
« Je je je, je suis une fée du village voisin, je vis ici depuis ma naissance et, je t'avais jamais vue tu vois, alors je me demandais et- oh faut pas avoir peur tu sais je suis gentil ! OH sois mon amie, ça te dis d'être mon amie ? c'est cool d'être mon amie soyons amis - ah mais c'est sans prétention hein juste- »
« D'accord. »
Tu as ouvert de grands yeux. Elle acceptait? Il semblait que c'était cela. Tu n'avais jamais eu d'amis, tu ne savais absolument pas comment t'y prendre, tu n'avais tout simplement jamais eu quelqu'un a qui parler comme maintenant, cela t'avait même étonné qu'elle dise oui. Tu as affiché un grand sourire. Ce sourire que tu n'as plus, Summer. Tu lui as tendu la main. C'était pour toi une façon de sceller votre amitié. Elle a souri a son tour. Son premier sourire, tu t'en souviens n'est-ce pas, l'amoureux? Et vous n'avez cessé de vous voir depuis.
Tu lui as donné un nom, parce qu'elle n'en avait pas.
Betty.
Vous avez parlé de sa famille, qu'elle n'avait pas.
Le boucher.
Et peu à peu, tu es tombé amoureux.
Amour.
Et la peur que le bourreau la tue.
Mort.
Et entraine ta chute.
Ce qui arriva.

« 3. mort »

Et Betty a disparu.
Tu venais tous les jours à la clairière pour la voir, espérant qu'elle reviendrait.
Mais elle ne revint jamais.
Tu l'a cru d'abord mal au point, chez le boucher, et tu te mis en quête de sa maison. Tu n'avais que neuf ans, et pourtant ton désir de protéger cette petite fille à laquelle tu étais liée depuis deux ans à présent était brûlant. Ce désir de protéger que tu n'as plus, Summer. T'en souviens-tu? Mais tu ne trouvas jamais cette maison. Peut-être avait-elle était détruite? Le boucher et Betty à l'intérieur?
Tu l'a cru ensuite morte.
C'était cela, tu en étais persuadé. Cette mort à laquelle ton papa avait échappé lors d'une guerre contre les elfes - qu'il t'avait caché jusqu'à l'année dernière. Cette mort que tu avais l'impression de subir, suite à celle de la petite fille aux cheveux blonds. Cette perte immense qui te remplissait de tristesse, qui te vidais de sentiment, de sens, de vie. C'était cela la mort, tu crois?
Et tu ne sortais plus de chez toi.
Et tu ne voulais plus sortir de chez toi.
Et tes parents s'inquiétaient.
Tu mangeais peu.
Buvais à peine.
Tu mourais lentement.

« 4. renaissance »

« Que se passe-t-il, petit ange? »
« Rien du tout maman, tout va bien. »
Tu as onze ans, et dans ta petite chambre de l'étage, tu lances doucement ta petite balle en plastique au plafond, attendant qu'elle te retombe dessus pour l'attraper, toute la journée.
Ta maman voyait que ça n'allait pas bien, pourtant tu t'obstinais à lui mentir.
Menteur.
Idiot.
Pourquoi ne lui disais-tu pas?
Avais-tu peur de lui parler de Betty? Avais-tu peur de leur avouer que tu étais parti dans la forêt chaque jour, malgré ta promesse? Avais-tu peur de leur colère? De leur réaction? De quoi avait peur Hippolyte, Summer? T'en souviens-tu? Tu leur disais que ça allait bien, pourtant ta maman revenait chaque jour pour te poser la question.
Puis tu finis par tout leur dire.
Et ils te prirent dans leur bras, te laissant verser tes petites larmes d'enfant sur leurs vêtements. Ils comprenaient. Ils t'on dit de rester fort, de ne jamais oublier qui tu étais.
Car ils savaient que Betty était en vie.
Mais comment le savaient-ils?
Ils ne le savaient pas.
Ils te persuadaient d'y croire.
Et tu l'a cru.
C'était le jour de ton douzième anniversaire. Tu es doucement descendu les escaliers, tenu par ta maman, un bandeau sur les yeux. Tu t'impatientais, tu voulais savoir ce que l'on t'avait offert. L'espoir de retrouver Betty a nouveau dans ton coeur, tu avais retrouvé cette joie de vivre et cet enthousiasme qui était le tien. Une fois en bas de l'escalier, ta maman a lentement défait le noeud sur ta nuque, et une fois les yeux à découverts, tu as sauté jusqu'à la table où tu as commencé à déballer avec force tes cadeaux. Des livres, des vêtements… Et une petite boite. Intrigué, tu as tourné la tête vers tes parents, qui se sont contentés de sourire. Tu as délicatement retiré le couvercle du carton et un petit papillon s'en est extirpé. Il était si beau, tu avais toujours voulu en avoir un, tu avais depuis petit couru après, les regardant s'envoler au dessus de toi, déçu de ne jamais pouvoir les toucher. Mais celui-ci ne partirait pas. Il s'est posé sur ton nez et tu as rigolé. Ton bel affilié.

« Alors comme ça, c'est toi Hippolyte? »
« Oui c'est moi! Tu connais mon nom? »
« Je me souviens de toi. »
« Ah booooooooon? »
« Tu te souviens de ce papillon que tu as chassé avant de rencontrer la petite fille? C'est moi. Je n'ai cessé de te suivre depuis, petit Hippolyte, et maintenant nous sommes liés. J'ai proposé à tes parents de m'offrir pour ton anniversaire, pour que tu retrouves ce joli sourire que tu avais perdu. »
Et ce sourire s'est affiché sur ton petit visage de jeune enfant.

« 5. "betty", deuxième »

u.c

« 6. lean »

u.c

« 7. destruction »

u.c

« 8. "autumn", "spring" et "winter" ; fin »

u.c


« Et vous ? »

PSEUDO Ҩ Devine.
DATE DE NAISSANCE Ҩ Devine.
COMMENT ES-TU ARRIVÉ(E) CHEZ NOUS ? Ҩ Devine.
ACTIVITÉ SUR UNE ÉCHELLE DE 1 à 10 Ҩ Devine.
AVIS SUR SOH Ҩ Devine.
DES CHOSES À AJOUTER ? Ҩ Devine.
CODE DU RÈGLEMENT Ҩ Devine. (no j'déc :c)

(C) MISS AMAZING.


Dernière édition par #YOLO le Dim 18 Jan - 16:14, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: h. t. "summer" ϟ fairytale of lies   h. t. "summer" ϟ fairytale of lies EmptyMer 14 Jan - 18:44

LOVE KEUR KEUR JE TE T'AIME JE TE FAIS DES BB DFRTGYHUJIKOLP0.

/error system/

(oui je me suis sentie obligée de le faire)
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MessageSujet: Re: h. t. "summer" ϟ fairytale of lies   h. t. "summer" ϟ fairytale of lies EmptySam 17 Jan - 11:06

J'ai fini le physique :c
Il est court mais bon, j'ai mis le plus important so pas la peine d'ajouter des tonnes de détails inutiles (comme avec Nath' quoi :oo)
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#YOLO




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MessageSujet: Re: h. t. "summer" ϟ fairytale of lies   h. t. "summer" ϟ fairytale of lies EmptySam 17 Jan - 11:31

ET J'AI FINI LE MENTAL.
Il est court aussi sorry, j'espère qu'il ira ;;
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MessageSujet: Re: h. t. "summer" ϟ fairytale of lies   h. t. "summer" ϟ fairytale of lies EmptySam 17 Jan - 13:07

PUTAIN C'ES BEAU.
PUTAIN J'AIME.
PUTAIN TU AS TROP CERNE LE PERSONNAGE.
j'arrêted'êtrevulgaireok.
non sérieux, c'est court mais pas besoin de plus, I loooove thaaaat ;; (j'ai presque envie de chialer haha)(non sérieux c'était pas loin la larme)
LOOOOOVE QWWWWWWQ


(+ cadeauuu)
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